He was new here

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Stand clear of the closing doors, please !

Le sous-marin du Marki nous avait largué sur la rive de l’Hudson, et désormais les rues de Greenwich Village s’offraient à nous. Les buildings étaient loin, mais la Ville était toujours là. Le froid de février était mordant et les autochtones s’étaient abrités derrière les vitrines de cafés accueillants. En cette saison, les touristes étaient plus rares encore que les écureuils, mais un groupe de japonais flânait tout de même autour de Washington Square. Une limousine s’arrêtait devant un fast-food, nous proposant un instantané du rêve américain.

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Alors, qu’est-ce qu’elle a donc d’extraordinaire la Joconde ?!

Alors, qu’est-ce qu’elle a donc d’extraordinaire la Joconde ?!

On m’a demandé sur ce même blog ce que je trouvais d’extraordinaire à la Joconde dont je parlais. C’est simple, ce tableau est la meilleure explication que je peux trouver quand on me demande ce que j’aime dans la peinture. C’est l’idée que j’ai rapidement introduite la dernière fois. Il y a tout dans la Joconde : la beauté pure du portrait (je ne me lasse pas de contempler ce visage qui respire le bonheur, mélange parfait de jeunesse et d’intelligence), mais aussi une espèce de force, de souffle génial qui nous pousse à réfléchir, à penser la peinture, à comprendre ce qu’elle nous révèle, ce qu’elle contient au-delà de l’image. C’est pour ça que je n’admire pas seulement ce tableau, je l’aime profondément. Allez, je vais essayer de préciser un peu ça !

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