Marine Le Pen tape sa galette à Saint Denis

Le Poisson Rouge se pose une bonne question : les convives de Marine Le Pen bousculées ce dimanche à Saint-Denis ne faisaient-elles pas partie d’une stratégie médiatique bien rodée ?
Le Poisson Rouge se pose une bonne question : les convives de Marine Le Pen bousculées ce dimanche à Saint-Denis ne faisaient-elles pas partie d’une stratégie médiatique bien rodée ?
Un crâne de loup tatoué sur l’avant-bras, marqué du sigle antique S.P.Q.R, dans un quartier du nord de Rome. Belle entrée en matière. En face de moi se tient un homme, grand, aux yeux rieurs et à la moustache brune, épaisse. Ce n’est pas Freddy Mercury, mais Antonio, l’antifasciste. De long cheveux frisés lui tombent sur les épaules, et lui donnent une allure chaleureuse de baba cool amical, surtout lorsqu’il me tend un pétard roulé par ses soins. Mais attention, toutefois, aux raccourcis étroits, car mon nouvel ami me répète sans cesse, comme pour se prémunir d’une de mes remarques, « I’m not a fucking hippie , ok?»