Exclusif : les propositions de Poisson Rouge pour la Cour des Comptes
Depuis quelques années, la Cour des Comptes est prise d’une frénésie fusionniste. Et si on lui appliquait ses propres méthodes pour commencer ?
Depuis quelques années, la Cour des Comptes est prise d’une frénésie fusionniste. Et si on lui appliquait ses propres méthodes pour commencer ?
D’où vient le trou dans le budget de Radio France, que le gouvernement veut boucher par un plan social ? Du gouvernement lui-même, et de sa politique d’austérité ! Décryptage, chiffres à l’appui.
Avec es images de soldats américains se soulageant en se marrant sur les cadavres de combattants afghans, l’Occident semble redécouvrir que la guerre c’est sale. Rien de nouveau à l’ouest, pourtant.
Des plus hautes sphères de la politique aux piliers de comptoir, des articles de presse aux campagnes humanitaires, les questions africaines donnent souvent le tournis. L’Afrique, c’est un peu la banlieue de notre monde. Celle qu’on mentionne sans trop connaître, celle qui fleure bon le mépris social et les préjugés faciles. Celle qu’on utilise à tort et à travers pour illustrer tout la misère de la planète, celle qui doit se passer d’arguments lorsqu’on parle d’elle
Il y a un type qui traîne dans le sud de Bamako. Un grand gaillard, fier et têtu, dont je ne réussirai jamais à connaître l’âge malgré mes efforts répétés. En réalité, je serai incapable de décrire ne serait-ce que la couleur de ses cheveux, les traits de son visage ou les plis de sa tunique, car l’homme, et c’est un détail qui a son importance, ne sort que la nuit. Passé vingt heures, l’ami rôde dans les sombres ruelles de la capitale à la recherche de l’anonymat le plus complet, se faufilant entre les baraques pour atteindre son but premier : le maquis
Le 4 Décembre (demain) aura lieu l’élection au titre de miss France 2011. Une fois encore TF1 s’illustrera par une brillante programmation culturelle et nous proposera un divertissement aussi percutant qu’original. Une fois encore s’exhiberont toute une tripotée de jeunes filles plus fades les unes que les autres, aux regards vitreux et aux sourires hallucinés. Une fois encore elles défendront des prises de positions engagées « contre la faim dans le monde » ou « pour la paix sur terre » quand un animateur hypocrite leur tendra le micro, provoquant en chacun de nous une envie soudaine de fin du monde et de planète exsangue.