Saez vers de nouveaux rivages

Saez vers de nouveaux rivages

Saez, on aime ou déteste, mais ce qui est certain c’est qu’il ne laisse personne indifférent. La faute à sa voix : chevrotante, plaintive, elle peut irriter autant qu’elle peut toucher. Autant être clair tout de suite : j’adhère à fond !

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Le fabuleux destin de Boubacar Traoré

Le fabuleux destin de Boubacar Traoré

Février 2012, Festival sur le Niger à Ségou au Mali. Un vieil homme vêtu d’une casquette et d’une chemise bleue, guitare en bandoulière apparaît sur scène et déclenche des trombes d’applaudissements : Boubacar Traoré.

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Festival sur le Niger

Festival sur le Niger

Plus de 30.000 festivaliers se sont retrouvés dans la ville de Ségou du 14 au 19 février, pour assister à la 8éme édition du Festival sur le Niger. Malgré les événements qui touchent le Nord du Mali, le public était au rendez-vous pour assister aux concerts, aux danses ou encore aux débats proposés dans le cadre du festival.

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Requiem pour une trompette en mode mineur

Requiem pour une trompette en mode mineur

Maurice André, qui nous a quitté samedi dernier, était de ceux qui font l’unanimité. Il faut dire que quand sa trompette entame l’Ave Maria de Schubert, comment pourrait- on faire autrement que se taire et savourer ?

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Un pot de confiture géant

Un pot de confiture géant

« La culture », aiment à répéter les cuistres, qui en ont peu, « c’est comme la confiture : moins on en a, plus on l’étale ». Malheureusement, il semblerait que ce proverbe soit de moins en moins vrai. Prenez les patrons de majors du disque par exemple. Eux, de la culture, ils en ont un paquet à leur disposition. Des centaines de paquets même. Eh bien, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils ont un peu de mal à la partager…

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He was new here

He was new here

Stand clear of the closing doors, please !

Le sous-marin du Marki nous avait largué sur la rive de l’Hudson, et désormais les rues de Greenwich Village s’offraient à nous. Les buildings étaient loin, mais la Ville était toujours là. Le froid de février était mordant et les autochtones s’étaient abrités derrière les vitrines de cafés accueillants. En cette saison, les touristes étaient plus rares encore que les écureuils, mais un groupe de japonais flânait tout de même autour de Washington Square. Une limousine s’arrêtait devant un fast-food, nous proposant un instantané du rêve américain.

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