Viendrais-tu à Chicago ?
En août 1968, le parti Démocrate tient sa convention à Chicago. Des protestataires veulent perturber la fête, et subiront une répression terrible. C’est ce que raconte la chanson de Graham Nash, Chicago.
En août 1968, le parti Démocrate tient sa convention à Chicago. Des protestataires veulent perturber la fête, et subiront une répression terrible. C’est ce que raconte la chanson de Graham Nash, Chicago.
« Nous voulons du pain, mais nous voulons aussi des roses ». Voilà un slogan qui marqua la lutte syndicale, notamment des femmes, aux Etats-Unis, depuis le poème d’Oppenheim jusqu’au film de Ken Loach.
Vous connaissez peut-être Pete Seeger, mais avez-vous entendu parler de sa demi-soeur Peggy ? Elle aussi chanteuse, elle n’a pas grand chose à lui envier. En ce 8 mars, elle a aussi des choses à nous enseigner, alors partons à sa découverte.
De Billie Holiday à Akhenaton, la chanson Strange Fruit a traversé le 20ème siècle. Mais qu’y a-t-il de si spécial dans cette chanson ?
Mais quel est ce Cinquième Régiment dont il est question dans une célèbre chanson de la Guerre Civile espagnole ?
Saez, on aime ou déteste, mais ce qui est certain c’est qu’il ne laisse personne indifférent. La faute à sa voix : chevrotante, plaintive, elle peut irriter autant qu’elle peut toucher. Autant être clair tout de suite : j’adhère à fond !
On pensait que David Simon avait atteint le sommet avec The Wire. Mais avec Treme, le voyage vers la Nouvelle-Orléans et son inimitable musique s’annonce encore meilleur.
Février 2012, Festival sur le Niger à Ségou au Mali. Un vieil homme vêtu d’une casquette et d’une chemise bleue, guitare en bandoulière apparaît sur scène et déclenche des trombes d’applaudissements : Boubacar Traoré.
Plus de 30.000 festivaliers se sont retrouvés dans la ville de Ségou du 14 au 19 février, pour assister à la 8éme édition du Festival sur le Niger. Malgré les événements qui touchent le Nord du Mali, le public était au rendez-vous pour assister aux concerts, aux danses ou encore aux débats proposés dans le cadre du festival.
Maurice André, qui nous a quitté samedi dernier, était de ceux qui font l’unanimité. Il faut dire que quand sa trompette entame l’Ave Maria de Schubert, comment pourrait- on faire autrement que se taire et savourer ?
« La culture », aiment à répéter les cuistres, qui en ont peu, « c’est comme la confiture : moins on en a, plus on l’étale ». Malheureusement, il semblerait que ce proverbe soit de moins en moins vrai. Prenez les patrons de majors du disque par exemple. Eux, de la culture, ils en ont un paquet à leur disposition. Des centaines de paquets même. Eh bien, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils ont un peu de mal à la partager…
Stand clear of the closing doors, please !
Le sous-marin du Marki nous avait largué sur la rive de l’Hudson, et désormais les rues de Greenwich Village s’offraient à nous. Les buildings étaient loin, mais la Ville était toujours là. Le froid de février était mordant et les autochtones s’étaient abrités derrière les vitrines de cafés accueillants. En cette saison, les touristes étaient plus rares encore que les écureuils, mais un groupe de japonais flânait tout de même autour de Washington Square. Une limousine s’arrêtait devant un fast-food, nous proposant un instantané du rêve américain.