Pauvres députés !

Pauvres députés !

Dans l’hémicycle du Palais Bourbon, au-dessus du perchoir du président de l’Assemblée Nationale, se trouve trois mots gravé en lettres d’or dans le marbre. Ces trois sont la devise de notre république : « Liberté, Egalité, Fraternité »…
Si pour la liberté notre pays jouit encore d’une certaine marche de manœuvre (de plus en plus mince je le concède), pour l’égalité et la fraternité on repassera. Les députés, gardiens du temple et de la morale, ultime rempart de la nation face aux dérives du pouvoir sont finalement des gens comme les autres.

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Arrêtez de distribuer votre argent en voyage !

Arrêtez de distribuer votre argent en voyage !

Vous êtes sans doute déjà parti en vacance dans un pays qui est meilleur marché que la France, ils le sont quasiment tous, sauf peut être la Norvège, la Suisse et le Japon !

Dès la première dépense, le paradoxe surgit : ce qui valait 10 euros en France en vaut ici 2. Passons sur la question idéologique fondamentale qui est de se demander s’il est vraiment juste qu’à compétence égale et pour le même travail, on gagne beaucoup plus ou moins selon son pays. Vous voilà à la tête d’une petite fortune, le budget de vos vacances, serré en France, se transforme en salaire d’un cadre sup’ local. Mais avec cet accroissement relatif de votre richesse viennent de nouvelles responsabilités, au moins morales.

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Bling-Bling Bang-Bang

Bling-Bling Bang-Bang

Le générique de fin du Parrain 3 se terminant, je décide d’éteindre enfin ma télé. Les yeux encore rougis par ce marathon télévisuel, je m’allonge et décide de méditer sur cette soirée spéciale mafia que je me suis faite. Enchaînant sans interruption « Scarface » et les trois « Parrain » de Coppola, j’ai des images plein la tête et tout doucement je commence à rêvasser. Costard Hugo Boss parfaitement ajusté, un cigare à la bouche et les Ray-Ban sur le nez je regarde l’heure sur ma superbe Rolex que tout le monde m’envie. Je descends les Champs-Elysées en direction du Fouquet’s, entouré de mes hommes de mains, tous armés. Bien évidemment, un gros caïd comme moi attire les plus belles nanas. J’ai choisi pour faire classe un ancien mannequin reconverti dans la chanson et au premier regard de défi qu’on ose me lancer je n’hésite pas à balancer un « Casse- toi pauvre con » et… mais merde je me prends pour Sarkozy là !

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