Le tableau préféré

Le tableau préféré

Je n’ai pas vraiment de tableau préféré. En fait plusieurs me viennent à l’esprit quand je me pose la question. Comme je l’avais dit dans la première note de cette rubrique, on peut distinguer deux types d’émotions devant une peinture : l’émotion pure qui ne se verbalise pas, et l’émotion qui apparait quand avec le temps, à force de regarder la peinture, les couches de sens se dévoilent une par une, l’accumulation de réflexions, de méditations apparaissent, et l’intimité du peintre, mais aussi de son époque sont dévoilées, et la voix de l’histoire passée est alors audible. Plusieurs tableaux m’ont procuré l’une ou l’autre (ou les deux) de ces émotions.

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Alors, qu’est-ce qu’elle a donc d’extraordinaire la Joconde ?!

Alors, qu’est-ce qu’elle a donc d’extraordinaire la Joconde ?!

On m’a demandé sur ce même blog ce que je trouvais d’extraordinaire à la Joconde dont je parlais. C’est simple, ce tableau est la meilleure explication que je peux trouver quand on me demande ce que j’aime dans la peinture. C’est l’idée que j’ai rapidement introduite la dernière fois. Il y a tout dans la Joconde : la beauté pure du portrait (je ne me lasse pas de contempler ce visage qui respire le bonheur, mélange parfait de jeunesse et d’intelligence), mais aussi une espèce de force, de souffle génial qui nous pousse à réfléchir, à penser la peinture, à comprendre ce qu’elle nous révèle, ce qu’elle contient au-delà de l’image. C’est pour ça que je n’admire pas seulement ce tableau, je l’aime profondément. Allez, je vais essayer de préciser un peu ça !

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La complainte du partisan

La complainte du partisan

De toutes les chansons qui ont été écrites pour célébrer la Résistance, l’Histoire aura retenu surtout le Chant des partisans. Le succès mérité de cette chanson en a malheureusement laissé d’autres dans l’ombre, dont une qu’on pourrait considérer comme sa soeur, au titre quasi-identique : la Complainte du partisan.

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