OXI : Le NON doit l’emporter, pour la Grèce et pour l’Europe !
Il est indispensable que le NON l’emporte, si possible avec un écart significatif. Petits arguments pour comprendre.
Il est indispensable que le NON l’emporte, si possible avec un écart significatif. Petits arguments pour comprendre.
Il y a à peine quatre mois, j’expliquais ici même comment le gouvernement grec, sous la pressions de la troïka FMI, BCE et UE, avait commencé une guerre de classe contre son peuple. Quatre mois plus tard, sous la pression constante de la rue, le premier ministre grec Papandréou fait (légèrement) machine arrière et accepte l’idée d’un référendum pour valider le plan de sauvetage (notez qu’on ne parle plus de plan de rigueur, par ailleurs…) : que pensez vous, dès lors, qu’il arrivât ?
Souvenez-vous, c’était il y a à peine un an. Un volcan islandais au nom imprononçable avait fait « éruption » dans notre vie quotidienne en paralysant le réseau aérien d’un bout à l’autre de la planète. Dispersant de ci de là quelques glaviots de laves et de poussières suffisamment fort pour enquiquiner les compagnies aériennes, le monstre naturel avait attiré toutes les caméras du monde vers l’île de glace durant de très longues semaines. Pourtant, au même moment, un autre volcan était en train de naître…